Qazea SayouMercenaire Velden
Informations Renommée : Faible Profession : Noble en cavale Expérience : 105 Messages : 20
| Sujet: Discut' and fight [Ft. Arkal] Dim 24 Mai - 20:57 | |
| - HRP:
Ce RP se situe après mon introduction pas enore créer (attente de la validation de la fiche)
J'étais à présent en fuite, c'était officiel. Le noble que j'étais n'avais été que trop couvert et n'avais pu voir du pays. C'est avec une difficulté certaine que j'avais réussi à m'échapper de mon imposante résidence dans l'immense ville qu'est Alteran. C'est dans cette immense ville que le Château royal était construit. Il était de loin le plus grand bâtiment et l'on pouvait sans aucun doute voir de paysage environnant. Quoi qu'il en soit, cette vie était passée et j'étais sur les routes à un rythme soutenu depuis quelques jours déjà. J'avais atteint très tardivement la veille un petit village dans la plaine au pied du volcan qui abrite Eden, la citée des Elyséens. Je n'avais aucun problème avec eux. A vrai dire, je n'avais aucun problème avec personne, même si je préférais la présence des personnes de ma race, les Veldens. Je payais donc l'auberge avec l'argent dérobé à mes parents. Bien évidemment, j'avais pris de quoi survivre quelques temps en attendant de trouver du boulot. Néanmoins, ce boulot était tout tracé ! J'avais rendez-vous avec l'aventure et la découverte. J'avais toujours rêvé de parcourir le monde et de combattre toute sorte de bandits. Finis Qazea Z. Sayou le noble, maintenant c'était juste Qazea Sayou le mercenaire. Je nourrissais mon cheval et le laissais attacher : je reviendrais le chercher bien assez tôt. Je me dirigeais vers une quelconque boutique pour voir si quelque équipement ou consommable me convenais, mais je partis dépité vers la taverne la plus prête. Je voulais mettre pour l'instant la plus grande distance possible entre moi et mon horrible famille et il me faudrait bien un petit remontant avant de poursuivre la route à cheval. Mes entre-cuisses commençaient déjà à me faire souffrir, mais je me devais d'ignorer la douleur. Je ne pris pas de table et m’asseyais au comptoir, attendant qu'une arme charitable daigne ne s'occuper de moi. |
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